#NousSommesTOMRA : Rencontre avec Rémi, responsable des partenariats caritatifs

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Que faites-vous chez TOMRA ?

Je suis responsable des partenariats caritatifs chez TOMRA Collection Australie, et membre de l’équipe marketing. J’ai commencé à temps partiel en avril 2018, quelques mois seulement après le lancement du système de consigne en Nouvelle-Galles du Sud. Ma principale responsabilité est de gérer notre programme de partenariat en matière de dons, d’aider à former nos partenaires donateurs (écoles, clubs sportifs, groupes communautaires et organisations caritatives, locales ou internationales) et de les encourager à participer au programme, à collecter des fonds pour leur cause et à s’engager auprès de la communauté.

Qu’est-ce qui vous a motivé à postuler pour un emploi chez TOMRA ?

Tant d’étoiles étaient alignées... J’ai découvert l’offre d’emploi pour le poste d’assistant des partenariats caritatifs en avril 2018. Pendant plus de cinq ans avant de rejoindre TOMRA, j’ai été « ingénieur domestique », ce qui est une définition beaucoup plus précise de ce que signifie être un parent « au foyer » ! Pendant cette période, j’ai eu le privilège de me déconnecter du monde de l’entreprise pour élever mes enfants. J’ai également eu la chance d’avoir eu l’occasion d’essayer de nouvelles choses : j’ai fait du bénévolat pour des œuvres caritatives et des entreprises sociales et je suis devenu actif dans le domaine de l’entrepreneuriat social à Sydney, en suivant à la fois mes intérêts pour le changement social et la durabilité.

L’un de mes objectifs était de trouver des moyens de réduire mon impact sur la planète, en consommant moins et en générant moins de déchets. Alors, de l’élevage de vers à la collecte de porte-manteaux pour mon pressing local, en passant par la plongée dans les poubelles de mes voisins pour retirer les matériaux parfaitement recyclables, et l’achat de lunettes de soleil fabriquées à partir de couvercles de biberons et de bouchons de barils de bière, j’étais clairement déjà – de façon plutôt inconsciente – un « révolutionnaire des ressources ».

Je me souviens aussi de l’offre d’emploi. Elle mentionnait quelque chose comme : « Il s'agit d'une occasion idéale pour une maman ou un papa qui souhaite retourner au travail ». Ce n’était pas qu’une coïncidence. C’était fait pour moi. Les étoiles étaient parfaitement alignées pour moi ce jour-là.

Qu’est-ce qui vous passionne ?

Ce qui me passionne, c'est d’accélérer le changement, de défier le statu quo, de sortir des sentiers battus, d'avoir un rôle à jouer – même minuscule – dans ma communauté aussi. Ce qui me passionne, c'est de réorganiser notre système social et économique et de faire la transition vers une société plus équitable, respectueuse et durable (tant sur le plan social qu'environnemental), de m'assurer que le monde soit meilleur pour la prochaine génération et mes garçons. Et nous avons beaucoup de travail à faire !
En dehors du travail, j’adore jouer avec mes deux fils qui sont très actifs. J'aime faire du sport, en particulier ceux qui ne comportent pas de risque de blessure, comme le tennis, et j’ai récemment découvert le tennis de plage. J’adore le plein air, l’exploration et j’ai hâte de vivre d’autres aventures en 2021.

Quelle est la chose la plus passionnante que vous ayez faite chez TOMRA ?

J’ai eu beaucoup de chance. J’ai participé à des projets et des campagnes passionnants, notamment « Bottles for the Bush », « Cans for Koalas » et plus récemment « Bottles CAN Change Lives ». Mais le projet le plus passionnant pour moi a été le développement de la nouvelle fonctionnalité « Association caritative » dans l’application myTOMRA. Passer d'une simple « graine » plantée il y a plus de deux ans à une fonctionnalité opérationnelle aujourd’hui est très satisfaisant, et je suis reconnaissant de l’occasion qui m’a été donnée de travailler avec l’équipe de développement du siège de TOMRA en Norvège et de diriger ce projet. J’espère que l'application aura du succès, et je crois que ce sera le cas en Australie et qu'elle pourrait même inspirer d’autres marchés.